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Dans notre monde de surconsommation, peu d’entre nous sont à l’épreuve de l’accumulation inutile de biens... souvent au détriment du confort de notre foyer. Afin de reprendre le contrôle de son environnement et de retrouver un sentiment de liberté, cette chronique offre des conseils sur la façon de se débarrasser du superflu et d'« aérer » notre environnement de vie. Ces conseils sont tirés de la multitude de documents en ligne sur le sujet.

TABLE DES MATIÈRES

Introduction

Reprendre sa vie en main, améliorer son efficacité, alléger sa vie, mieux vivre, prendre le contrôle de son environnement, désencombrer son esprit, retrouver un sentiment de liberté... sont toutes des expressions utilisées lorsqu’on parle d’organiser son espace de vie. Il existe une abondance de livres et de textes en ligne avec tous d’excellentes suggestions sur le sujet. Le Nénuphar y a fait le tri pour vous offrir à petite dose les meilleurs conseils pour « aérer » votre environnement de vie.

 

INTRODUCTION

Dans notre monde de surconsommation, peu de gens sont à l’épreuve de l’accumulation inutile de biens, souvent au détriment du confort des foyers. Cela commence en général lentement, et on ne se rend pas toujours compte du moment où on traverse la frontière entre un débarras « normal » qui indique qu’une maison est habitée et celui qui finit par nous causer du stress.

Parfois, nous avons « hébergé » des meubles (pas longtemps, je te promets), ou accepté des dons de livres, de vaisselle, de vêtements, etc., possiblement de quelqu’un qui se désencombrait! Plus loin dans le spectre, il y a les situations graves, celles des gens touchés par la syllogomanie appelée aussi accumulation compulsive, syndrome de l’écureuil ou syndrome de Diogène. Dans ce dernier cas, il faut chercher une aide professionnelle.

L’habitude d’accumuler n’est pas toujours synonyme de maladie psychologique. Il peut s’agir d’une habitude au départ bien intentionnée, mais qui ne correspond plus à la réalité ou dont l’application est tombée aux oubliettes. Il faut prendre le temps d’observer nos actions de tous les jours objectivement, sans émotion, et d’en évaluer la pertinence. Par exemple, durant bon nombre d’années... d’accord, durant environ 30 ans, j’ai conservé le cahier alimentation du journal du mercredi de l’endroit où je vivais. Il y a eu le journal La Presse à Montréal, puis le Vancouver Sun à Vancouver et finalement le Winnipeg Free Press au Manitoba. Dans tous ces quotidiens, le cahier alimentation est riche de recettes en tout genre et j’avais imaginé les placer dans un album... quand j’aurais le temps. Je ne pouvais donc jamais me débarrasser du journal sans conserver cette partie. Essayez d’imaginer la hauteur de la pile que représentent plus de 1 500 cahiers de journal. Il va sans dire que cela occupait beaucoup d’espace.

 

Ce n’est que lorsque j’ai réalisé que je n’aurais jamais suffisamment de temps pour découper ces recettes et les placer dans un album, que chercher une recette précise dans cette pile était complètement absurde et que, de toute façon, depuis plusieurs années je trouvais toutes mes recettes sur Internet, ce n’est qu’à ce moment-là que j’ai pu cesser mon habitude de conserver ces cahiers, et éventuellement apporter toute la pile au centre de recyclage de mon quartier. Mais quel sentiment de légèreté j’ai ressenti d’avoir éliminé cette tâche toujours présente dans mon esprit et créé de l’espace dans ma maison.

Au cours des prochaines semaines, je vous recommande l’exercice suivant : aussi souvent que vous le pourrez, observez votre maison et ses différentes pièces ainsi que la cour et le garage d’un œil d’étranger ou de visiteur. Essayez d’imaginer le potentiel caché de cet endroit où vous vivez et dont vous ne voyez plus les défauts.

Chaque mois, nous vous offrirons des conseils sur les façons de vous y prendre pour vous débarrasser du superflu et prendre le contrôle de votre environnement.

Les surfaces planes

Les surfaces planes

Après la parution de l’article du mois dernier, une lectrice nous a écrit pour nous demander de parler de ce qui la préoccupe : le désencombrement des surfaces. Voici donc quelques conseils dénichés sur la toile.

 

Dans un logement, les surfaces sont représentées, entre autres, par les tables de salle à manger, de cuisine et de bureau, le dessus d’un buffet, les comptoirs de cuisine et de la salle de bain, le dessus d’une commode et d’une table de chevet... sans oublier les planchers.

 

Il va de soi que ce qu’on enlève d’une surface, on doit le placer ailleurs. On peut procéder de deux façons pour libérer les surfaces : la méthode douce, soit un peu chaque jour, ou la méthode forte où l’on commence par rassembler en un seul endroit tout ce qui traîne. La deuxième méthode n’est utile que si l’on possède un espace assez grand pour ce grand rassemblement, et suffisamment de temps pour passer à travers le tout. Sinon, elle ne sert qu’à créer un fouillis supplémentaire qui représentera une tâche plus lourde à accomplir.

 

Dans les deux cas, c’est une bonne idée de se doter de cinq contenants étiquetés comme suit :

1.  à garder et à ranger

2.  à entreposer ailleurs

3.  à donner

4.  à vendre

5.  à confier au recyclage ou à jeter

 

Dans le cas de la méthode douce, quelques textes suggèrent l’utilisation d’un chronomètre si l’on veut y consacrer un temps fixe chaque jour, selon la disponibilité. Cela peut être de 10 à 30 minutes par jour, où vous passerez d’une surface à une autre en plaçant les objets dans leur boîte respective. Lorsque la boîte n° 1 est pleine, il est temps de ranger et de trouver une place pour chaque chose.

 

Pour ce qui est des espaces de rangement, amusez-vous comme je l’ai fait à passer en revue les nombreuses suggestions offertes sur Internet. Voici le résultat d’une requête dans Google Image avec les mots-clés « optimiser l’espace » 

Lorsque vous êtes prêts à vous attaquer à la paperasse, profitez des conseils de Jacinthe Duval dans sa chronique Du daguerréotype à l’infonuagique. De nos jours, grâce à l’option qui nous est offerte par la plupart des entreprises de recevoir des factures et des reçus numérisés, l’espace requis pour les documents papier en est réduit d’autant plus. Il faut toutefois avoir un bon système de classement numérique et avoir acquis l’habitude de faire des copies de sécurité à intervalles réguliers.

 

Au fur et à mesure que vous libérerez les surfaces, vous sentirez s’accroître en vous un sentiment de légèreté. Ensuite, l’important sera de les garder libres et pour cela, vous convaincre qu’une surface plane N’EST PAS un espace de stockage.

 

Un excellent conseil qui réduit l’accumulation : tout ce qui prend moins de cinq  minutes doit être fait immédiatement. Qu’il s’agisse de remplir un formulaire, de changer une pile ou de recoller un objet brisé, reporter à plus tard ne servira qu’à créer de l’encombrement et à augmenter votre liste de choses à faire. De plus, le temps que vous passerez à penser à ce que vous avez à faire finira par vous coûter plus que cinq minutes, sans compter le stress inutile.

Le garage

NETTOYER LE GARAGE

S’il y a un endroit qui s’encombre rapidement et facilement, c’est bien le garage. Les vêtements que l’on garde pour les petits-enfants, les souvenirs de voyage, les médailles, trophées et équipements sportifs, les cadeaux de matante et les bibelots qu’on ne veut plus voir, les costumes d’Halloween des dix dernières années, les décorations de Noël... à un point tel qu’il ne reste souvent plus beaucoup d’espace pour y abriter une automobile, son emploi normal. De plus, au fil du temps, l’énormité de la tâche fait que l’on trouve toujours une bonne raison pour reporter le « grand ménage » à plus tard. Mais, une tâche de plus sur la liste des choses à faire représente un stress supplémentaire avec lequel il ne fait pas bon vivre.

Mais par où commencer?

D’abord évaluer la tâche, soit le contenu, et faire une liste préliminaire de ce qui se trouve dans le garage :

- ce qui appartient à d’autres gens, qu’ils soient des membres de la famille ou des amis;
- les plus gros morceaux (meubles, équipements sportifs, etc.);
- les outils et articles de jardinage;
- les boîtes de paperasse, vêtements et souvenirs;
- les restants de peinture, les projets d’artisanat, etc.

Ensuite, une fois que l’on a une meilleure idée du contenu du garage, déterminer le nombre d’heures que cela nous prendra pour effectuer la tâche ainsi que les moments où l’on pourra s’exécuter. L’idéal serait probablement de pouvoir prendre le temps de vider le garage et de tout étaler sur la pelouse afin de réorganiser les objets, mais cela pourrait nécessiter beaucoup trop de temps... du temps dont on ne dispose pas toujours. Une autre option est de dégager une portion du garage le long d’un mur pour y installer des étagères ou autres systèmes de rangement. Ainsi, au fur et à mesure que l’on fait le tri, on peut y placer les boîtes contenant les objets que l’on a décidé de conserver.

Lorsqu’on a en main une liste des objets qui ne nous appartiennent pas, on doit contacter les propriétaires et leur faire savoir, sans tergiverser, qu’ils ont jusqu’à (une date que vous aurez déterminée à l’avance) pour venir récupérer leur bien. Évidemment, s’il s’agit d’objets que vous avez empruntés, vous verrez à les rapporter vous-même. 

Les articles dont vous voulez vous débarrasser et qui valent la peine d’être vendus ou donnés peuvent être annoncés sur eBay, Kijiji, VarageSale ou sur la page Facebook de petites annonces classées de votre localité. Si vous connaissez d’autres bons sites Internet à cet effet, faites-nous-en part à editeur@magazinelenenuphar.com et nous nous empresserons de les ajouter à cette liste. Il y a aussi bien sûr les boutiques d’occasion, les friperies et les centres d’aubaines pour les gens dans le besoin qui recueillent et recyclent bon nombre d’articles.

Composer avec la nostalgie

Il peut sembler difficile de se départir de la multitude de dessins de vos enfants ainsi que de leurs cadeaux pour la fête des Mères ou la fête des Pères et des vieux souvenirs de voyages. Prenez le temps de renouer avec les souvenirs qu’ils vous évoquent, prenez des photos, relisez vos anciens journaux intimes une dernière fois, puis dites-leur adieu. Vous pouvez bien sûr sélectionner quelques dessins de vos enfants et autres objets que vous voulez garder, mais la règle d’or pour se débarrasser du « débarras », est de revoir notre position vis-à-vis les choses que nous conservons « au cas où » et pour cela, la question que l’on doit se poser est « Combien de fois, depuis les cinq ou dix dernières années, m’en suis-je servi? ».

Il existe bon nombre de sites en ligne qui traitent spécifiquement du désencombrement du garage. En voici un que nous avons trouvé informatif : La Cabane de Moe - Rangement du garage

Bon débarras! 

De retoUR À LA CUISINE

Chez‑moi, l’endroit de la maison le plus utilisé est la cuisine, et c’est aussi un endroit qui s’encombre facilement. Dans l’article du mois de mai, nous y avions déjà réorganisé deux tiroirs, soit le tiroir fourre-tout et celui à ustensiles. Voyons voir ce qu’il est possible de faire pour continuer à désencombrer la cuisine.

Les gadgets et appareils culinaires

Notre impulsion d’acheter de nouveaux outils de cuisine vient habituellement d’un sentiment très louable : être en mesure de mieux présenter la nourriture, d’économiser du temps, de produire des mets plus variés, etc. Enfin, c’est ainsi que l’on peut expliquer la quantité de gadgets qui finissent par occuper beaucoup d’espace, plus d’espace que n’en justifie leur utilisation. Mais comment résister à la publicité si aguicheuse qui nous offre de manger plus sainement...? Avez-vous vu ces légumes si parfaits, si bien coupés et aux couleurs si vives? Ce spaghetti de zucchini, ces parfaites spirales de concombre et ces frisettes de carotte?

 

Je me suis ainsi dotée un jour d’une yaourtière, me disant que j’allais économiser sur l’achat des yogourts commerciaux, fabriquer du yogourt au besoin et éliminer les contenants de plastique. D’autres aussi bonnes raisons ont conduit à l’achat d’un déshydrateur, d’une machine à pain, d’une sorbetière... et je ne suis pas la seule acheteuse! Que fait un fils bien-aimé qui veut faire d’une pierre deux coups à la fête des Mères? Il achète un gaufrier à sa maman adorée, qui pourra maintenant lui servir les gaufres qu’il aime tant. Une autre année, ce fut le vide‑pomme, qui facilite si bien la production de tartes aux pommes... Au fil des années, c’est inévitable, on perd l’intérêt de fabriquer son yogourt, ses croustilles de banane et son bœuf séché. On réalise que l’on fait des gaufres, du pain maison et de la crème glacée qu’une ou deux fois par année et franchement, les tartes, ça n’a jamais été mon fort.

 

À bien y penser, l’idéal serait de pouvoir se rassembler par quartier ou par immeuble d’habitation et mettre en commun tous nos outils. Ainsi, après avoir fait mon pain préféré pour accompagner mon repas de l’Action de grâces, je retourne le robot-boulanger à l’espace de rangement collectif, quel qu’il soit, et quelqu’un d’autre pourra s’en servir. Constituer une espèce de bibliothèque d’appareils culinaires. Une culithèque, tiens!

 

Et puis, il y a les équipements en double, ceux qu’on a reçus en cadeau ou ceux qu’on a remplacés parce qu’ils ne fonctionnaient plus aussi bien, mais que l’on garde « au cas où ». Ahh ce « au cas où », combien d’espace il occupe dans nos maisons. Mais revenons à mes nombreux équipements. En réalité, il n’y a que le mélangeur, le grille-pain, la bouilloire, le robot culinaire et le four à micro-ondes dont je ne saurais me passer. Et la cafetière bien sûr! Ce qui permet de libérer énormément d’espace, principalement de l’espace sur le comptoir. D’autres surfaces planes!

Les options de débarras

 

Que faire de tous ces appareils dont on est maintenant prêt à se départir? Les appareils défectueux peuvent être apportés au centre de recyclage de votre région et les autres, donnés ou vendus. Préparez une liste détaillée et offrez d’abord les articles à donner aux membres de la famille et aux amis. Communiquez ensuite avec les associations de récupération, les organismes de lutte contre la pauvreté, les magasins d’aubaines ou encore offrez ces articles sur les pages régionales consacrées aux dons sur les réseaux sociaux.

 

Si vous préférez vendre vos objets, il y a aussi bon nombre de sites en ligne, sites que nous avons d’ailleurs déjà mentionnés dans l’article précédent Nettoyer le garage : eBay, Kijiji, VarageSale ou la page Facebook de petites annonces classées de votre localité. Si vous connaissez d’autres bons sites Internet à cet effet, faites-nous-en part à editeur@magazinelenenuphar.com et nous nous empresserons de les ajouter à cette liste.

De retour à la cuisine
Le garde-manger

LE GARDE-MANGER

Dates de péremption

Avez-vous déjà humé des biscuits Graham ayant largement dépassé la date de péremption? Je l’ai fait, et ça sent le pétrole, beurk! J’avoue ne pas avoir regardé la liste des ingrédients pour identifier ce qui a pu « tourner » ainsi, mais cela m’a sensibilisée aux dates estampillées sur les produits se trouvant dans mon garde-manger.

En fait, une recherche sur Internet m’a appris qu’il y avait deux sortes de dates : la date limite de consommation (à consommer jusqu’au...), qui concerne les aliments à garder réfrigérés et la date limite d’utilisation optimale (à consommer de préférence avant...) qui s’applique davantage aux produits qui ne nécessitent pas de réfrigération, même une fois ouverts. Cette dernière date, m’apprend le site Web d’une entreprise alimentaire européenne, n’est pas une date de péremption à partir de laquelle l’aliment se gâte, mais définit plutôt le moment jusqu’auquel l’aliment retient l’essentiel de ses qualités gustatives et nutritionnelles. 

Donc, si l’emballage est demeuré intact, et les conditions de conservation bonnes, un produit peut être consommé plusieurs mois, voire plusieurs années après sa date limite d’utilisation optimale, si l’on est prêt à faire fi de la perte de goût. Par contre, une boîte de conserve bombée ou rouillée peut contenir une toxine pouvant causer une toxi-infection alimentaire grave, même mortelle, le botulisme. De même, un sac de farine, de riz, de céréales ou de pâtes qui n’aurait pas été hermétiquement fermé peut avoir reçu la visite de mites alimentaires, lesquelles sont des plus prolifiques. Ces dernières, même si elles ne sont pas dangereuses pour la santé selon un article de la revue Protégez-vous, représentent tout de même un problème d’hygiène et personne n’aime trouver des larves grouillantes dans sa nourriture.

Entreposage

Entreposer les denrées sèches dans des contenants en plastique herméti-ques les protège de l’humidité et des risques de contamination aux mites. Personnellement, je préfère grandement me servir de farine ou de sucre à partir d’un contenant rigide qu’à partir d’un sac, ça fait moins de dégâts. Lorsque j’achète un volumineux sac de farine, j’en transfère son contenu immédiatement dans de gros contenants qui serviront à approvisionner les plus petits qui me servent quotidiennement.

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Description de l’image -- Sur la tablette supérieure : les gros contenants où sont versés, aussitôt achetés, les sacs de riz, de farine d’avoine, de sucre, etc.; plus bas, les plus petits contenants pour les noix, graines, légumineuses, thés, fruits séchés, céréales et autres; sur le plancher, les sachets d’herbes et d’épices, les enveloppes de sauce, les pâtes alimentaires. Remarque : à part les bacs du bas, je n’ai acheté aucun contenant, mais réutilisé des contenants de produits alimentaires une fois vidés.  

Le grand ménage

Êtes-vous prêt à faire peau neuve à votre garde-manger? Assurez-vous d’avoir suffisamment de temps pour tout faire en une seule fois. Il vous faudra :

  • tout sortir du garde-manger;

  • laver à fond le garde-manger;

  • jeter les vieux fonds de sac;

  • essuyer ou épousseter tout avant de ranger;

  • placer les conserves dont la date est la plus vieille en avant pour les utiliser en premier et par la suite, de façon générale, procéder par rotation : dernier acheté, premier utilisé;

  • ranger les aliments qui sont dans un sac ou une boîte de carton dans des contenants en plastique hermétiques et transparents.

Vous n’avez pas besoin de copier mon arrangement personnel, c’est ce qui me convient à moi et je ne vous l’ai présenté qu’à titre d’exemple. Il y a une foule de trucs innovateurs et d’idées intéressantes à dénicher sur Internet, par exemple sur cette page : Des idées inspirantes pour le garde-manger! 

Pour de plus amples renseignements sur la conservation des aliments :
- Dates de péremption : les aliments que l'on garde, et ceux que l'on jette 

- Les aliments périmés que l’on peut toujours consommer

Les contenants 1

LEs contenants

Après s’être débarrassé des gadgets et appareils culinaires (août 2018) encombrants et peu utilisés, réorganisé deux tiroirs de cuisine (mai 2018) et le garde-manger (septembre 2018), que reste-t-il pour faire de notre cuisine un endroit pratique, fonctionnel, agréable et propice à cuisiner? En ouvrant les placards, vous pourrez généralement repérer rapidement les endroits qui nécessitent un traitement de désencombrement. La plupart du temps, on peut résumer le gros du problème en un mot : les contenants. Qu’ils s’agissent de contenants pour boire, pour manger, pour servir la nourriture ou pour entreposer, avec le temps, nous en avons accumulé tellement qu’une bonne partie ne sert qu’à occuper de la place inutilement.

Les tasses

 

Généralement munie d’une anse, la tasse basse et délicate, de faïence ou en porcelaine, a été supplantée par la moque, le gobelet, la petite chope ou le geigneux, en tout cas en ce qui concerne les boissons chaudes comme le café. Mais qu’est-ce que c’est que ça me direz-vous?

Je savais que j’allais attirer votre attention. Ce sont tous des termes utilisés selon les époques et les pays pour désigner une tasse haute à forme généralement cylindrique et que nous connaissons mieux sous le terme anglais « mug ». Personnellement, j’aime bien le mot « geigneux », mais je m’imagine mal l’affiche au-dessus de l’évier du bureau « N’oubliez pas de laver vos geigneux! » 

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En procédant de la même manière que pour le garde-manger, sortez toutes les tasses de votre placard, profitez-en pour nettoyer l’espace de rangement, puis faites le tri des tasses en ne gardant que celles dont vous vous servez réellement ainsi qu’un nombre raisonnable pour vos invités habituels. Si vous éprouvez de la difficulté à vous débarrasser des tasses souvenirs comme la tasse en céramique fabriquée par votre enfant dans son cours de poterie, mais que vous n’osez jamais utiliser, ou celles rapportées de voyage, il y a quelques options intéressantes. Voici ce que j’ai déniché sur Internet :

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Une solution amusante : l’arbre d’échange de tasses que l’on peut trouver sur la route 49 au sud de Yale, dans l’état d’Illinois aux États-Unis.

Les bouteilles d’eau réutilisables

 

Les bouteilles réutilisables sont une excellente alternative aux bouteilles d’eau jetables qui, comme on le sait, ont une conséquence néfaste sur l’environnement.

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Elles sont offertes sous différentes formes avec toutes sortes de goulots et de bouchons. Les quatre principaux matériaux sur le marché sont l’aluminium, l’acier inoxydable, le verre et le plastique. On trouve plusieurs articles qui expliquent les dangers liés à chaque matériau sur Internet dont Quelle gourde ou bouteille réutilisable choisir et acheter en 2021 sur le site lemballageecologique.com/.

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Ces contenants, que l’on appelle aussi bouteilles de sport, sont très utilisés comme produit de marketing sportif et, après plusieurs années de compétitions sportives et de campagnes de financement en tout genre, notre famille s’est retrouvée avec une trentaine de bouteilles de sport.

 

Après avoir effectué un tri basé sur le degré d’étanchéité, de praticité et de sécurité, on devrait arrêter notre choix sur le nombre de bouteilles correspondant au nombre de membres de notre famille.

LEs contenants

(suite)

Les contenants de rangement des aliments

 

Je ne sais pas ce qu’il en est dans vos cuisines, mais chez moi, les contenants de rangement des aliments représentent un défi constant. Dans mes périodes d’intense activité culinaire, il peut m’arriver de manquer de contenants pour ranger le fruit de mon travail et lorsque le contenu du congélateur diminue, je ne sais plus où les mettre. Je dois donc procéder régulièrement à leur réorganisation et j’ai quelques petits trucs à vous proposer à ce sujet.
 

Depuis le début de cette chronique, vous le savez bien, je préconise de tout vider ou de sortir tous les articles ciblés, puis d’en faire le tri. Il s’agit ensuite de les replacer d’une meilleure façon après avoir nettoyé l’espace de rangement. Étant donné que les contenants de rangement se trouvent rarement à un seul endroit, il faudra aller à la chasse aux contenants ET à leurs couvercles. Ahhhh les couvercles...

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Quelques trucs

 

Ne gardez pas les contenants de margarine, yogourt ou autre, ou même les barquettes de restaurant pour ranger vos aliments, et ce, pour plusieurs raisons. Même si vous avez l’impression d’économiser sur ces contenants gratuits, non seulement leur plastique n’est pas de bonne qualité, mais il peut être nocif à la longue, surtout

lorsque vous le mettez au micro-ondes. De plus, ces contenants sont opaques et ne permettent pas de voir leur contenu à moins de les ouvrir. Je me souviens encore du réfrigérateur de mes parents, où l’on devait ouvrir plusieurs pots de margarine avant de tomber sur... la margarine, non sans avoir eu quelques frissons à la vue de certains contenus. Vous pouvez toujours en garder quelques-uns pour les mets que vous donnez.

 

Lorsque vous vous procurez des contenants, pensez à leur durée (bonne qualité), à leur usage et à leur côté pratique (la forme carrée plutôt que ronde, car elle occupe mieux l’espace du frigo) et limitez les marques. Les contenants Tupperware, Ziploc, Rubbermaid ou autre ont parfois, pour des tailles semblables, des différences suffisantes qui les empêchent de bien s’emboîter. Or, on sait que pour le rangement dans les armoires, il FAUT pouvoir les emboîter. Pour la même raison, tentez de minimiser les sortes.

 

Éliminez systématiquement les contenants endommagés. Il ne faut pas penser que l’on va toujours se souvenir de n’utiliser le plat percé que pour des ingrédients secs. Eh oui, on sait bien qu’utiliser un couteau pour défaire un bloc de nourriture gelé dans un plat de plastique n’est pas une bonne idée. (Ça vous dit quelque chose?)

Débarrassez-vous des veuves et des orphelins. On parle bien sûr ici des plats sans couvercle et des couvercles sans plat. Ne croyez pas que les parties manquantes ressurgiront un jour, surtout si vous avez pris la peine de traquer tous les endroits où ils peuvent se trouver. C’est exactement le même principe que pour les bas : ils sont tombés dans le trou noir de la maison. Aussi, voyez si vos contenants à usage unique peuvent être substitués par un contenant « régulier ». Vous économiserez ainsi beaucoup d’espace.

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Servez-vous de boîtes pour ranger les couvercles séparément. Cela permet d’avoir un accès facile et... toujours le but ultime... de sauver de l’espace. Comme solution économique, les boites doubles de céréales en carton rigide sont idéales ou tout autres boîtes ou contenants de la bonne grandeur. Pour ma part, j’aime bien les bacs en plastique qu’on peut laver aisément.

Les contenants 2

LA SALLE DE SÉJOUR

La salle de séjour, aussi appelée salon, est la pièce du logement dédiée aux divertissements de la famille (lire, regarder la télévision, écouter de la musique, etc.) et à la réception des invités. (Source : Wikipedia)

Tout le monde est d’accord avec cette définition de Wiki? L’article poursuit avec la liste des meubles, des appareils, du matériel et de l’équipement qu’on peut y trouver :

  • des sièges confortables (canapé, fauteuil, chaise berçante, pouf, etc.)

  • table basse, table gigogne, meuble-bibliothèque, bar;

  • instruments de musique volumineux (piano, orgue);

  • matériel audio-vidéo (téléviseur, magnétoscope, lecteur de DVD, chaîne haute‑fidélité, console de jeux vidéo, etc.).

 

On doit aussi considérer les livres, les journaux, les magazines, les supports audio et vidéo (CD, DVD, cassette, etc.), les projets de couture ou d’artisanat en cours, les manuels d’instructions, les bibelots et... bon, vous savez ce qui se trouve dans votre propre salon et surtout, ce qui l’ENCOMBRE. Parce que selon la taille de la pièce, toutes ces choses qui nous procurent confort et loisirs peuvent aisément transformer une pièce en capharnaüm.

 

En ce qui a trait aux meubles, selon un article de Marie-Claire maison, ils « doivent être proportionnels en nombre et en dimension au volume de la pièce : plus elle est petite, plus il s’agira de réduire leur place. » Dans ce même article sur l’aménagement d’un salon, on trouve d’excellents conseils et je vous en recommande la lecture.

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Source de l'image : Made Home

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Source de l'image : Le tribunal du Net

Nous avons déjà traité de l’accumulation de journaux dans l’article d’avril 2018, et Jacinthe Duval, dans sa chronique Du daguerréotype à l’infonuagique de juillet 2018, mentionne que le moyen le plus efficace pour conserver le contenu des médias qui sont délaissés par les nouvelles technologies est de le transférer sur de nouveaux supports. Par exemple, nous avons accumulé au fil des ans environ 400 CD de musique en tout genre. Cette belle collection servait davantage à ramasser la poussière qu’au plaisir de nos oreilles. D’abord, peu importe le classement que nous adoptions, c’est vite devenu évident que pour trouver rapidement une pièce, YouTube était très efficace.

 

Je me suis donc amusée à enregistrer le contenu des 400 CD sur mon ordinateur et, quelle ne fut pas ma surprise de constater que toute cette musique qui occupait un espace considérable dans notre salon, tenait sur une clé de 32 Go. Et moi, qui avais enfin réussi à trouver la fonction pour la lecture aléatoire sur notre lecteur de CD, je peux vous dire à quel point je trouve cela pratique de pouvoir constituer des listes de lecture à partir de mes 400 CD sans être limitée aux cinq plateaux de notre ancien lecteur.

 

De même, pour les films en DVD, une fois qu’on a visionné et revisionné un film quoi... trois fois? Il va passer beaucoup de temps à s’ennuyer sur une tablette. Il est vrai qu’avec les entreprises de plus en plus nombreuses à proposer des films et des séries télévisées en flux continu sur Internet, nous n’avons plus autant besoin d’acquérir des copies physiques. Là-dessus, je vous confie qu’il y a plusieurs années de cela, je m’étais mise dans la tête de dresser l’inventaire de tous nos films et d’inciter nos amis à faire de même afin d’organiser une base de données de tous nos films qui faciliterait un système de prêts. C’était, à mon avis, une bonne idée, mais qui n’a pas trouvé preneur.

 

Et les livres donc, c’est bien joli et ça fait « instruit » d’avoir une bibliothèque bien remplie dans son salon, mais savez-vous que la plupart des liseuses peuvent contenir au moins 3 000 livres? Et elles ont l’avantage d’être assez légères et de nous permettre de modifier la taille et le type de police des lettres selon nos préférences.

 

Lorsqu’on a fait le tour de notre salle de séjour, éliminé le superflu, remis à César ce qui appartient à César (rangé ailleurs ce qui va ailleurs – je sais, ce n’est pas le sens usuel de cette expression, mais je trouve qu’elle convient bien), et dépoussiéré, il reste à réorganiser ce qui reste et pour cela, Internet regorge de suggestions sur les espaces de rangement. Voici ce que l’on obtient avec la phrase clé « espace de rangement pour salle de séjour » :

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Source de l'image : Google

Je crois que vous avez tout ce qu’il vous faut pour transformer votre salle de « séjour » en une salle où il fait bon « vivre » au lieu de simplement y séjourner.

La salle de séjour

LA SALLE DE BAIN

La salle de bain est un endroit intime où nous commençons et terminons nos journées pour prendre soin de nous. Elle doit être synonyme de détente et de confort et, pour cela, il importe qu’elle soit désencombrée et bien organisée. Nous avons déjà procédé au nettoyage d’un tiroir au début de cette chronique, mais si votre salle de bain ressemble un peu à la mienne, TOUS les espaces contiennent des produits en tout genre, dont plusieurs sont en double ou périmés. Il vaut donc la peine de reprendre les conseils précédents : jeter les vieux produits, ceux qu’on n’a jamais utilisés et qu’on ne gardait qu’au cas où… et les échantillons séchés, fusionner les produits en double...

 

Petite liste pratique

  • Passez en revue les médicaments et rapportez à la pharmacie tout ceux qui sont périmés ou devenus non nécessaires.

  • Rassemblez les produits de toilette, de traitement capillaire (shampoing, revitalisant) et de soins pour la peau et finissez les flacons à moitié ou presque vides.

  • Éliminez les appareils électriques en double ou que vous n’utilisez plus : rasoir, séchoir, brosse à dents, fer à friser, etc.

  • Songez à remplacer les serviettes hygiéniques (qui occupent beaucoup d’espace) et les tampons par de nouvelles solutions. Élisabeth Massicolli présente trois options dans son article intitulé Parlons menstruations publié dans Elle Québec.

  • Servez-vous de contenants en plastique transparent pour ranger les produits, ils seront ainsi plus accessibles.

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Source de l'image : prospecttube.com

Vous devriez aboutir à un dessus de comptoir qui ne contient que le savon à main et les brosses à dents.

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LE PLACARD À LINGE

Avec le temps et l’usage, tout placard à linge risque la désorganisation et le débordement. Comme plusieurs espaces de rangement, il faut le revisiter régulièrement.

 

La meilleure méthode ici consiste à le vider complètement de son contenu : couvertures, couvre-lits, édredons, serviettes, débarbouillettes, nappes, draps, taies d’oreiller, chiffons...

 

Il s’agira ensuite de séparer les articles d’usage courant des articles saisonniers et de ceux dont on ne se sert qu’une ou deux fois par année (nappe de Noël, ensemble de draps pour les invités, couverture chauffante ou édredon pour l’hiver...)

 

Quelques conseils glanés sur la toile

  • Placez les articles d’usage courant de façon à ce qu’ils soient les plus accessibles.

  • Organisez les ensembles de draps en insérant chaque morceau plié dans sa taie correspondante.

  • Rangez les articles saisonniers et d’occasion dans des housses qui les protégeront de la poussière.

  • Améliorez l’accès en ajoutant des tablettes supplémentaires et par l’utilisation de contenants transparents.

  • Appliquez la règle de « 2 par habitant » (2 serviettes, 2 ensembles de draps, 2 couvre-lits) plus un lot pour les invités.

La salle de bain

Les vêtements

Êtes-vous une personne qui range ses vêtements et accessoires d’hiver quand arrive l’été et vice-versa? C’est sûrement une bonne habitude pour libérer de l’espace dans les tiroirs et garde-robes. C’est aussi une bonne façon de ne pas avoir à prendre de décisions sur le sort des vêtements que l’on porte moins souvent ou plus du tout, ou qui ont perdu leur première jeunesse.

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Source de l'image : psychologies.com

Mais pourquoi donc garde-t-on des vêtements qu’on ne porte plus? Les raisons sont nombreuses :

 

- Il y a les vêtements-souvenirs. Nous les portions à un moment important de notre vie, en général un moment heureux et, même s’ils ne nous font plus, on a plus de difficulté à s’en débarrasser parce qu’ils nous rappellent certains événements de notre vie.

 

- Il y a les vêtements-image. Ils nous ont représentés dans nos activités sociales et correspondaient à ce que nous voulions projeter de notre identité, de notre personnalité à un certain moment de notre vie. Nous avons évolué depuis et ces vêtements ne s’accordent plus avec l’image que nous avons maintenant de nous-même ou avec ce que nous voulons projeter, mais ils sont témoins de notre passé.

 

- Il y a les vêtements-espoir. Ils sont légèrement serrés ou trop... nous les avons achetés avec l’espoir d’« arriver » à les porter un jour, c’est-à-dire à perdre du poids, et bien sûr aussi parce qu’ils nous plaisent. Ou nous les avons déjà portés et voudrions retrouver la forme que nous avions avant. Il peut être difficile de s’en détacher sans associer cela à un échec.

 

- Il y a les vêtements-au-cas-où. Ceux qui ne servent pas, qu’on ne porte pas ou qu’on n’aime même pas, mais dont on est incapable de s’en départir parce qu’« On ne sait jamais, ça pourrait servir. » Il paraît que cette manifestation du syndrome de l’écureuil serait due à un manque de confiance en l’avenir. Selon Catherine Huvelin, praticienne en programmation neurolinguistique, « celui à qui l’on a appris la confiance en l’avenir sait qu’il trouvera le moyen de s’en sortir le moment venu. Il n’éprouvera pas la nécessité de prévenir ses futurs besoins, et se séparer du superflu ne sera pas un problème ».

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Tous ces vêtements finissent par occuper une trop grande place dans nos vies et dans nos placards. Loin de moi l’idée de vous dire quoi garder ou ne pas garder, si vous avez entrepris la lecture de cette chronique, c’est que vous ressentez un besoin de simplifier, d’alléger votre environnement, de revenir à l’essentiel ou de lutter contre l’encombrement... Je vous fais confiance, et pour vous aider, voici quelques liens de sites Web où vous trouverez des conseils pratiques sur le désencombrement des vêtements.

Désencombrement : faire le tri dans sa garde robe, site lecaninole.fr

Désencombrer sa garde-robe, site mamansorganise.com

Les bases d’une garde-robe minimaliste, site bohos.ca

Les vêtements

MOT DE LA FIN

Le but de cette chronique était de vous offrir quelques conseils sur les façons de vous y prendre pour vous débarrasser du superflu et prendre le contrôle de votre environnement. Nous vous avons ainsi guidé à travers vos tiroirs, vos comptoirs, votre garage, votre cuisine, votre salle de séjour, votre salle de bain et votre garde-robe. Vous avez appris quelques techniques pour trier vos choses et arriver à un intérieur à tout le moins allégé.

 

Que faire maintenant pour continuer dans la même veine et surtout, ne pas s’encombrer à nouveau? Ça semble simple à première vue, mais les raisons pour lesquelles c’était encombré au départ ne sont pas parties en fumée parce qu’on a désencombré. Si vous n’y prenez garde, vous ne profiterez pas longtemps de vos nouveaux espaces aérés.

 

Et si l’on énumérait quelques-unes de ces raisons afin d’y trouver des solutions?

Raisons

  • trop de vêtements

  • piles de vêtements partout

  • accumulation de paperasse

  • achats inutiles

  • objets tombés en désuétude

  • cadeaux qu’on n’utilise pas

  • objets en double

  • l’utilisation de tiroirs ou de garde-
    robes comme « fourre-tout »

Solutions

  • n’acheter que des vêtements qui nous plaisent (et non en fonction du prix) et qui nous font bien présentement

  • prendre l’habitude de les ranger au fur et à mesure plutôt que de remettre à plus tard

  • ouvrir le courrier tout de suite, traiter sur le champ ce qui est pressant et classer le reste

  • bien réfléchir avant d’acheter quoi que ce soit, ne pas céder à l’impulsion du moment

  • dans certains cas, étiqueter la date de la dernière utilisation et considérer le rapport espace/usage

  • recycler les cadeaux (prendre l’habitude d’inscrire le nom de la personne qui nous l’a donné)

  • se débarrasser (donner, recycler, vendre) de tout ce qui est en double

  • ne pas céder à l’envie de cacher de la vue les traîneries avec l’intention de les ranger plus tard

Derniers conseils

 

  • Chaque fois qu’on entre dans sa maison, dans une pièce, faire une pause pour regarder autour de soi et « s’écouter » : est-ce que j’ai du plaisir à entrer ici? Quels changements puis-je apporter à cette pièce afin que je me sente mieux chez moi?

  • Prendre conscience de ses mauvaises habitudes et travailler fort pour les corriger.

  • Ne pas se laisser aller sous prétexte qu’on est fatigué/stressé/occupé/déprimé... tous ces sentiments ne peuvent que s’exacerber face au désordre.

  • Cesser l’auto‑sabotage et changer les comportements, habitudes et attitudes qui contribuent au désordre.

  • Dédier un contenant ou un espace pour les choses à donner et à offrir à vos amis et parents d'y fourrager.

  • Profiter des nouveaux espaces libres pour y ajouter des plantes.

 

Quelques références

 

Il y a plusieurs méthodes pour désencombrer, et quelques-unes ont acquis une certaine notoriété. Chaque approche a ses attraits et l’on peut préférer une façon de faire à une autre.

 

Voici quelques liens qui vous informeront sur ces méthodes :

Le mot de la fin
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